Le M23/AFC à court d'idées : Quand la désinformation ressort les vieux clichés pour attaquer Muyaya
Le journaliste Patrick Lokala les groupes bloque le mensonses de la coalition AFC-M23-RDF. Dans une sortie remarquée, Lokala a assené une vérité cinglante : "le mensonge a la mémoire courte, mais les archives ont une date." Une pique directe à une stratégie de désinformation jugée "usée jusqu'à la corde" par le M23/AFC, accusé de déterrer de vieilles photos et des scènes ordinaires pour les transformer en "faux scandales" et tenter de jeter le discrédit sur les autorités congolaises.
Au centre de cette tempête médiatique, le ministre de la Communication, Patrick Muyaya, se retrouve une fois de plus dans le collimateur. Selon les observateurs, il est systématiquement ciblé avec "la même méthode, le même poison, la même obsession."
L'exemple le plus flagrant ? Une photo datant de 2020, prise au restaurant Limoncello à Gombe. On y voit Corneille Nangaa, alors président de la CENI, échangeant avec diverses personnalités, dont des journalistes. Une image anodine, mais que les accusateurs tentent aujourd'hui de "réécrire avec des légendes fantasmées, des raccourcis mensongers et des titres racoleurs," visant à en faire une "preuve" de malversations. Pourtant, à l'époque, Nangaa était aisément reconnaissable à sa barbe blanche.
Mais face à ce "jeu du mensonge recyclé, la vérité reste debout." Le peuple congolais n'est "pas dupe" et saisit parfaitement que ces "ennemis de la paix et responsables de graves crimes" sont à court d'arguments, "fouillant dans les poubelles du passé pour construire des récits cousus de fil blanc."
Alors que la RDC se bat pour sa souveraineté et sa paix, le Rwanda et ses "relais Congolais" sont pointés du doigt pour "tordre la réalité comme on tord un chiffon sale."
Quant au ministre Muyaya, il continue "son travail selon les orientations du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, avec courage, détermination et patriotisme." Une persévérance qui, semble-t-il, "dérange" considérablement ses détracteurs.
Le message est clair : "On ne calomnie que ceux qui dérangent... ceux qui bossent bien! On ne ment que quand on a peur de la vérité." Cette "nouvelle attaque des terroristes du clavier" contre le ministre est perçue comme "l’aveu d’un système de désinformation à bout de souffle."
En somme, pour les détracteurs, "le mensonge, c’est leur arme." Pour le camp d'en face, "la vérité, c’est notre bouclier." Un combat idéologique où les archives semblent être une arme plus redoutable que n'importe quel cliché réchauffé.
GB
