Affaire ANADEC : Les manœuvres de Joël Cadet Ndanga, un journalisme à la dérive

Enquête accablante sur une campagne de désinformation orchestrée contre le ministre Louis Watum Kabamba

Dans une nation aspirant à la consolidation de sa démocratie, la presse se doit d'être un phare d'intégrité et de vérité. Or, les récentes actions de Joël Cadet Ndanga, l'éditeur d'Impact News, jettent une ombre inquiétante sur cette mission essentielle. Ses attaques répétées et sans fondement contre le ministre de l'Industrie et des PME-PMI, Louis Watum Kabamba, ne relèvent pas d'un journalisme d'investigation rigoureux, mais plutôt d'une entreprise de dénigrement basée sur des suppositions et une ignorance délibérée des faits.

Cette enquête révèle une pratique journalistique dangereuse, où la recherche de sensationnel prime sur la véracité, et où la diffamation semble être érigée en méthode. Il est impératif de démasquer ces procédés quiminent et de rappeler que la liberté de la presse ne saurait justifier la propagation de mensonges et la calomnie.

La nomination à l'APROCEM : Quand la calomnie se heurte à la réalité des compétences

L'une des pierres angulaires de la croisade diffamatoire de Joël Cadet Ntumba est son accusation de favoritisme concernant la nomination de la PCA de l'APROCEM. En insinuant un lien de parenté comme unique justification de cette désignation, il fait preuve d'une légèreté intellectuelle affligeante, ignorant superbement les impératifs administratifs et les qualifications de la personne nommée.

Notre enquête révèle que l'APROCEM, depuis sa création, souffrait d'un vide de gouvernance. La nomination de Madame Gisèle Kayembe Luboya, loin d'être un acte de népotisme, répondait à une urgence administrative et à une évaluation de ses compétences professionnelles. Son riche parcours, allant de la gestion de la programmation d'un festival international de renom à une carrière de journaliste à Radio Okapi et à la direction de plusieurs entreprises, témoigne d'un profil solide et pertinent pour ce poste. Prétendre que son éventuel lien familial (non prouvé et sans pertinence face à ses qualifications) devrait la disqualifier relève d'une mesquinerie intellectuelle et d'une tentative grossière de manipulation de l'opinion. Joël Cadet Ntumba préfère visiblement colporter des ragots plutôt que de s'informer et de présenter une analyse objective.

Suspension à l'ANADEC : La démonstration éclatante de manquements graves, ignorée par un journaliste complaisant

L'acharnement de Joël Cadet Ntumba à dénoncer la suspension du Directeur Général de l'ANADEC comme "illégale" confine à la mauvaise foi. L'arrêté ministériel N°007/CAB/IND.DPME/PMI/CMC/BKB/2025 est pourtant limpide et se fonde sur un procès-verbal accablant du conseil d'administration de l'ANADEC. Ce document, que tout journaliste sérieux aurait pris la peine de consulter, liste des fautes de gestion d'une gravité alarmante.

En ignorant délibérément ces faits avérés – non-exécution des décisions du conseil, usurpation de pouvoirs, faux et usage de faux, dépenses non budgétisées, violations des procédures de marchés, mauvaise gestion des fonds – Joël Cadet Ntumba se positionne non pas comme un défenseur de la légalité, mais comme un complice tacite de pratiques douteuses. Son empressement à critiquer la décision ministérielle, sans jamais mentionner les raisons profondes qui l'ont motivée, révèle une partialité flagrante et un mépris total pour la bonne gouvernance. Il est consternant de voir un "journaliste" encenser une attitude qui a manifestement nui au bon fonctionnement d'une institution publique.

Les fonds de l'ANADEC : L'imagination fertile d'un diffamateur face à la rigueur des comptes

L'accusation de détournement de 800 000 dollars par le ministre, lancée par Joël Cadet Ntumba, relève purement et simplement de la fabulation. Les registres financiers de l'ANADEC, consultables par tout organe de presse soucieux de vérité, attestent de l'utilisation légitime de ces fonds pour l'acquisition de biens nécessaires au fonctionnement de l'agence. En propageant une allégation aussi grave sans la moindre preuve, Joël Cadet Ntumba franchit une ligne rouge et se révèle comme un propagateur de fausses nouvelles, discréditant davantage sa propre publication. Son empressement à salir la réputation du ministre sans la moindre base factuelle est une démonstration navrante de son manque d'éthique professionnelle.

Le Conseil d'État : Le camouflet judiciaire infligé à la désinformation de Joël Cadet Ntumba

La décision du Conseil d'État de déclarer irrecevable et non fondée la requête du DG suspendu est un cinglant démenti aux allégations de Joël Cadet Ntumba. La plus haute instance administrative du pays a ainsi confirmé la légalité des actions du ministre, réduisant à néant les tentatives de manipulation de l'opinion orchestrées par l'éditeur d'Impact News. Ce jugement sans appel devrait inciter tout journaliste digne de ce nom à la prudence et à la vérification des faits avant de relayer des accusations aussi graves. Le silence assourdissant de Joël Cadet Ntumba face à cette décision de justice en dit long sur sa mauvaise foi et son incapacité à reconnaître ses erreurs.

Joël Cadet Ntumba Ndanga: Un triste exemple de dérives journalistiques nuisibles à la démocratie

Au-delà des faits spécifiques de cette affaire, le comportement de Joël Cadet Ntumba est symptomatique d'une dérive inquiétante dans le paysage médiatique congolais. Son recours systématique à des accusations non vérifiées, son ignorance délibérée des preuves contraires et sa propension à juger sans connaître les dossiers constituent une atteinte grave à la crédibilité de la presse. En préférant le sensationnalisme à la rigueur, la diffamation à l'information, il se disqualifie lui-même en tant que journaliste et contribue à semer la confusion et la méfiance au sein de l'opinion publique. Ses méthodes rappellent les pires travers d'un journalisme partisan et mal intentionné, loin des idéaux de vérité et de transparence.

Louis Watum Kabamba : Un homme d'action injustement ciblé par une campagne de calomnie

Le contraste entre les allégations malveillantes de Joël Cadet Ntumba et le parcours de Louis Watum Kabamba est saisissant. Ingénieur compétent, gestionnaire éprouvé et acteur engagé du développement, le ministre a toujours œuvré avec intégrité et professionnalisme. Ses réalisations concrètes, trop souvent ignorées par les détracteurs de mauvaise foi, témoignent de son engagement au service du pays. La tentative de Joël Cadet Ntumba de ternir son image par des accusations fallacieuses ne saurait masquer la réalité d'un homme d'État dévoué et compétent.

Il est temps de démasquer les imposteurs et de défendre un journalisme digne de confiance

L'affaire ANADEC, telle qu'instrumentalisée par Joël Cadet Ntumba, n'est pas un simple débat d'idées. Elle révèle une tentative flagrante de désinformation et de diffamation, orchestrée par un individu dont les pratiques journalistiques semblent guidées par des motivations obscures. Il est impératif que la presse congolaise dans son ensemble se désolidarise de tels comportements et réaffirme son attachement aux principes d'éthique, de rigueur et de vérité. Il est temps de démasquer les imposteurs qui ternissent l'image de la profession et de soutenir un journalisme d'investigation véritable, au service de la vérité et de l'intérêt public.

Guyvenant Misenge

Journaliste d’investigation