ESU : halte aux campagnes de désinformation, la ministre Marie-Thérèse Sombo face aux attaques

Depuis quelque temps, une campagne de dénigrement vise la ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), Pr Dr Marie-Thérèse Sombo. Sur les réseaux sociaux, des acteurs malveillants s'emploient à ternir l’image d’une dirigeante reconnue pour son engagement et sa rigueur dans la gestion de ce secteur essentiel.
Dès son arrivée à la tête de l’ESU, la ministre Sombo a initié des réformes profondes qui visent à assainir ce sous-secteur stratégique. Elle s’est attaquée à plusieurs maux enracinés, notamment le monnayage des nominations, les mouvements incontrôlés du personnel ou encore les promotions non conformes aux procédures réglementaires. Ces initiatives, bien qu’appréciées par bon nombre, dérangent ceux qui profitent depuis longtemps des pratiques dérogatoires.
Grâce à ses efforts, l’ESU jouit aujourd’hui d’une stabilité inédite, en phase avec la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Avec son expertise en neuro-psychiatrie et son expérience de professeure d’université, Marie-Thérèse Sombo incarne une gestion exemplaire, axée sur le respect strict des textes et sur une transparence accrue.
*Une gestion administrative au cœur des attentes*
Au sujet des promotions du personnel académique, bien que des retards aient été constatés, ils ne sont pas entièrement imputables à la ministre. En effet, les Conseils d’Administration concernés (CAU, CA-ISP, CA-ISTAT) ont pris du temps pour transmettre leurs rapports de sessions, bien que tenus en décembre dernier. De plus, certains dossiers présentent des irrégularités : absence de numéros matricules, dossiers incomplets ou équivalences non certifiées pour des diplômes étrangers. Ces problématiques nécessitent un examen rigoureux avant la signature de tout arrêté ministériel.
Face à ces défis, il est impératif de reconnaître les efforts constants de la ministre pour transformer ce secteur vital. Les critiques doivent être constructives et s’appuyer sur des faits vérifiés, loin des spéculations et des allégations infondées. Par ailleurs, la mobilisation scientifique qu’elle mène reflète son engagement indéfectible à renforcer la résilience nationale dans un contexte politique et sécuritaire tendu.
En somme, il est urgent de mettre un terme à cette campagne de diabolisation. Les réformes en cours nécessitent non seulement l’accompagnement du gouvernement, mais aussi le soutien des citoyens soucieux de voir l’Enseignement Supérieur et Universitaire se hisser à un niveau d’excellence et de probité.
Christian Mutombo