Thierry Monsenepwo victime d'une campagne de diffamation orchestrée sur les réseaux sociaux

Une vague de désinformation a ciblé ces dernières 24 heures Thierry Monsenepwo, cadre de l'Union sacrée et PCA de Cobil S.A. Des propos mensongers et dangereux, lui attribuant une proposition de loi sur l'affichage obligatoire du portrait du Président Tshisekedi dans tous les foyers, ont été largement diffusés sur les réseaux sociaux. Cette attaque, visiblement orchestrée par un « groupe mafieux », a pour objectif de salir gratuitement la réputation de l'homme politique.

La fausse information prétend que Thierry Monsenepwo aurait proposé, après son adhésion à l'Union sacrée, que le portrait du Président Félix Tshisekedi devienne une obligation pour tous les Congolais, et que les contrevenants seraient considérés comme des « ennemis de la patrie ». Ces propos, à la fois grotesques et autoritaires, n'ont jamais été tenus. Ils visent à créer un scandale et à associer une image négative à Monsenepwo.

Il est crucial de rappeler les faits. Récemment, Thierry Monsenepwo a été exposé devant la presse après avoir signé la charte d'adhésion à l'Union sacrée. À cette occasion, il a simplement réaffirmé son engagement et sa loyauté envers le chef de l'État, soulignant sa disponibilité à servir la République derrière la vision du Président Tshisekedi. Aucun de ses propos n'a jamais évoqué une quelconque obligation concernant l'effigie présidentielle ou une menace pour ceux qui ne s'y conformeraient pas.

Cette campagne de diffamation s'inscrit dans une logique de destruction gratuite. En l'absence de critiques légitimes, ses détracteurs ont choisi la voie du mensonge et de la calomnie pour tenter de nuire à son image. Il est donc impératif de faire preuve de discernement face à ce genre de publications et de ne pas relayer ces fausses informations qui participent à la désinformation sur la scène politique congolaise.

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