Conspiration contre l'IGF: La procédure déstabilisatrice de la Cour des comptes énerve la loi sur plusieurs aspects

Le communiqué du Procureur général près la Cour des comptes, rendu public le lundi 15 juillet, mettant en cause certains inspecteurs de l'IGF et le DG de la Gecamines continue de susciter des réactions au sein de l'opinion nationale qu'internationale.

Cette dernière manifeste l'intérêt et reste attentionnée sur l'affaire qu'elle ne cesse de juger d'un complot contre l'animateur de la seule Institution, qui s'est distinguée dans le contrôle des finances publiques. L'opinion qualifie ce communiqué d'une expression de “jalousie”, surtout, à chaque fois que le président de la République, Félix -Antoine Tshisekedi s'adresse à la nation, ne manque de faire des éloges à l'endroit de Jules Alingete et son IGF. Les attitudes de la Cour des Comptes et ses complices laissent penser à l'histoire de Caïn et Abel. Comme, il est rarissime qu'un dernier de la classe félicite le premier de la classe, lors d'une cérémonie solennelle. Face aux turbulences, les écritures saintes ont raison de dire : “ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas; car je suis avec toi pour te délivrer,…” .

D'après certaines sources judiciaires, il est important de préciser que la procédure devant la Cour des comptes, partant de l’instruction pré-juridictionnelle à l’instruction juridictionnelle, est inquisitoriale, secrète, écrite et contradictoire.

Les mêmes sources affirment que le caractère secret de la procédure interdit le recours à tout acte de publicité.

Le communiqué du PG sur la mise en cause de certains inspecteurs est une violation flagrante de l’article 88 de la loi portant organisation et fonctionnement de la Cour des comptes.

Exaucée Kassongo