IGF : Des partenariats renforcés avec le CEEC et la Rawbank pour une meilleure gouvernance financière

Dans un climat d’écoute mutuelle et d’ouverture institutionnelle, l’Inspection Générale des Finances (IGF) poursuit sa dynamique de renforcement des collaborations avec ses partenaires techniques et financiers. Le mardi 22 juillet, l’Inspecteur Général des Finances-Chef de service, Christophe Bitasimwa, a reçu successivement les délégations du Centre d’Expertise, d’Évaluation et de Certification des substances précieuses (CEEC) et de la Rawbank.
Accompagné de plusieurs membres de son équipe notamment Emmanuel Tshibingu (Chef de service adjoint), Herman Iyeleza (Coordonnateur) et Henry-Paul Kazadi (Coordonnateur adjoint), le numéro un de l’IGF a échangé avec les responsables du CEEC autour de l’harmonisation des missions respectives.
Cette rencontre s’inscrit dans la suite des orientations du Président de la République relatives à l’implémentation des laboratoires d’analyse pour les substances précieuses. À ce sujet, le Directeur général du CEEC a exprimé son souhait de voir l’IGF accompagner techniquement et financièrement ce projet stratégique.
« Nous sommes en train de répondre à l’instruction du Chef de l’État concernant l’implémentation des laboratoires, et nous avons sollicité l’appui de l’IGF », a-t-il souligné.
L’enjeu, selon les deux parties, est d’instaurer un cadre de collaboration qui respecte les spécificités du CEEC tout en garantissant un contrôle rigoureux et constructif des finances publiques.
Dans un second temps, la délégation de la Rawbank, composée de Junior Munongo (gestionnaire des comptes) et Vick Ramazani (chef d’agence), a été reçue par la haute direction de l’IGF. Cette rencontre a permis de revisiter les bases de la collaboration existante, notamment autour de la gestion des comptes des agents de l’Inspection.
La Rawbank, partenaire financier majeur de l’IGF, joue un rôle crucial dans la sécurisation et la transparence des opérations financières de cette institution. Les échanges ont mis l’accent sur la modernisation des outils de gestion, la digitalisation des transactions et la fiabilisation des processus.
À travers ces deux audiences, la nouvelle direction de l’IGF confirme sa volonté de bâtir des relations solides et durables avec ses partenaires institutionnels et bancaires. Il s’agit, pour Christophe Bitasimwa et son équipe, de faire de l’IGF non seulement un organe de contrôle, mais aussi un catalyseur de bonne gouvernance.
Dans un contexte national marqué par la lutte contre les antivaleurs et la quête de transparence, l’IGF entend jouer pleinement son rôle de vigile des finances publiques tout en s’inscrivant dans un dialogue permanent avec les acteurs clés du développement.
Gracieux Bazege