Face aux agitations des détourneurs des deniers publics en RDC : Le député Guy Mafuta Kabongo salue le travail de l'IGF
<p>Le député Guy Mafuta confirme que l'IGF, sous Jules Alingete sauve le pays. S’exprimant au sujet de l’autorisation de sortie accordée à Nicolas Kazadi, ministre honoraire des Finances, Guy Mafuta, président de la Commission spéciale ayant statué sur le dossier de cet ancien membre du gouvernement et actuellement député national, a confirmé que cette autorisation […]</p>

Le député Guy Mafuta confirme que l'IGF, sous Jules Alingete sauve le pays. S’exprimant au sujet de l’autorisation de sortie accordée à Nicolas Kazadi, ministre honoraire des Finances, Guy Mafuta, président de la Commission spéciale ayant statué sur le dossier de cet ancien membre du gouvernement et actuellement député national, a confirmé que cette autorisation de sortie n’émane pas de l’Assemblée nationale.
Au nom de la séparation des pouvoirs, l’Assemblée nationale s’est limitée à faire des recommandations. Celles-ci ne lient pas l’Exécutif ou le Pouvoir judiciaire, précise-t-il, avant de saluer le travail qu’abat l’Inspection Générale des Finances (IGF) en ce qui concerne la lutte contre la corruption et le détournement des deniers public.
« Que seraient les finances du pays sans l’IGF, je dirais même sans Alingete, parce que l’IGF avait existé avant? Dans un
environnement où il y a la jungle, si on aime le pays, il faut saluer la patrouille financière et le système d’avis favorable instaurés par l’IGF. Ça a sauvé les finances du pays», indique-t-il.
Il est important de rappeler qu’avec l’avènement de Jules Alingete comme chef de service et Victor Batubenga comme
son adjoint, l’IGF a mis sur pied la patrouille financière. Cette patrouille financière, très souvent mal comprise par ceux qui ne jurent que par la mauvaise gestion, est considérée comme une cogestion, alors que ce n’est pas le cas. Elle a permis à la République démocratique
du Congo de gagner sa place au sein des nations civilisées et de maximiser ses recettes afin booster son développement socioéconomique. Actuellement, l’IGF, qui était présente dans presque toutes les institutions étatiques, s’est retirée de quelques unes après avoir constaté la bonne application de toutes les recommandions leur faites. Ce retrait ne donne pas accès à une récréation financière car, l’IGF garde un œil ouvert sur leur gestion quotidienne et reviendra pour une évaluation dès janvier 2025. Malgré les agitations des experts en détournement l'IGF reste imperturbable.
Rédaction